A la recherche du Yeti
Journée phare de notre bike trip, nous aurions pu aussi titrer ce billet : « Sur le toit du trek ». Dans le bref descriptif de l’agence Cap Liberté, il était mentionné : « Sur les traces de URGE NEPAL – A la recherche du Yeti », car notre guide Tangi avait...Les hauts plateaux de Muktinath
Dès les premiers instants où nous avons pensé ce voyage, l’image qui s’était naturellement imposée était celle d’un sentier sauvage en haute altitude, proche des cimes au blanc éternel. Aujourd’hui, après tous ces préliminaires exotiques, passée cette longue entrée en montagne, parfois éprouvante pour les corps et l’esprit, nous allons vivre cette image, et se fondre pleinement dedans.
Caméra embarquée à Manakamana
Dès lors que l’on aime « l’image », on ne part pas vers une destination lointaine et exotique sans être certain d’en rapporter un maximum.
Kagbeni, le verrou des deux rivières
Sortir du duvet surmonté de la couette tient de plus en plus de l’exploit. Les nuits sont pourtant longues et réparatrices, mais les courbatures de la veille associées à la température matinale de la chambre n’incitent pas au saut du lit ! Quant à l’eau chaude, c’est seulement le soir quand les réservoirs solaires ont accumulé suffisamment de calories le jour.
Mustang, la route du sel
Il est tôt. L’air est sec et le froid se fait plus perçant qu’aux premiers jours. Le soleil est encore loin de chauffer les gorges profondes de la rivière Kali Gandaki.
L’année 2010 de SophiaOutdoor
A l’occasion de ce changement de cycle grégorien, petit retour désormais traditionnel sur ce qui a marqué l’année SophiaOutdoor, en photos bien sûr ! Au passage, tous nos meilleurs voeux, Banana et moi-même, à nos lecteurs assidus ou passagers, dont...L’entrée en Montagne
Dans un pays aussi enclavé géologiquement, géographiquement (et politiquement) que le Népal, muni d’infrastructures déficientes et délabrées, où le train n’existe que par le prolongement sur quelques kilomètres d’une ligne Indienne, les moyens de déplacements sont soit lents, soit rustiques, soit aléatoires, soit dangereux, et peut-être bien même tout ça à la fois !
Immersion, entre Katmandou et Pokhara
De Katmandou nous n’aurons quasiment rien vu, mais ça n’était pas le but. Qu’elle soit occidentale, orientale, du nord, ou du sud, la « ville » ne pourra jamais nous faire vibrer autant que les grands espaces naturels que nous sommes venus chercher, si loin.